
Le TGI a ordonné la démolition de 10 éoliennes. Voir l’article du Figaro.
Le Tribunal a considéré qu’il existait un préjudice esthétique «de dégradation de l’environnement résultant d’une dénaturation totale d’un paysage bucolique et champêtre», (…) un préjudice auditif «dû au ronronnement et sifflement des éoliennes», et enfin un préjudice d’atteinte à la vue «dû au clignotement de flashes blancs ou rouges toutes les deux secondes, de jour et de nuit».

Pour le tribunal, «le caractère tout à fait inhabituel, permanent et rapidement insupportable crée un préjudice dépassant les inconvénients normaux de voisinage, constituant une violation du droit de propriété». F.B.
Le 3 octobre 2013